(Article non sponsorisé par la région Puglia 🤓)
Sans nos montures Bobby et Bertha, nous serions passés à côté des Pouilles : les deux premiers jours dans la région (entre Taranto et Gallipoli) étaient chouettes mais on ne comprenait pas bien pourquoi tout le monde en Italie nous avait dit d'y passer absolument, que c'était "bellissimo". On sortait de Calabre et Basilicate, on en avait eu du bellissimo.
Mais après Gallipoli, tout a changé. Nous avons commencé à trouver des itinéraires cyclables que nous avons arpentés sans but et nous nous sommes régalés sur des chemins magnifiques dans les marais ou en bord de mer, le long de plages de sable blanc, accessibles aux seuls piétons, cavaliers et cyclistes.
Lorsqu'il n'existait pas de "percorso cicloturistico", nous avons choisi des routes biscornues, plus longues et pas toujours en bel état donc très peu empruntées - contrairement aux autres régions que nous avons parcourues, le réseau secondaire est développé. Nous avons roulé au milieu des oliviers, des champs de blé, des prés en fleurs, nous avons laissé passer les bergers et leurs troupeaux.
Le relief est doux (on trouve tout de même de belles ascensions, pas bien longues mais assez violentes !) et les itinéraires aménagés et parcours balisés font sortir des sentiers battus. Quand ils ne suffisent pas, les réseaux Intothebike et Bikeitalia filent de précieux coups de mains. On a également longtemps suivi des autocollants avec des flèches rouges dont nous n'avons jamais su où ils menaient ni qui les avait posés, mais qui nous ont fait passer sur de très jolies routes.
On a jalonné nos journées de sauts de puce dans des villes aux magnifiques centres historiques (Oria, Francavilla Fontana, Ostuni, Cisternino, Alberobello, Polignano a Mare...), qui se visitent aisément en poussant la bicyclette (moins contraignant que de devoir trouver une place de parking à chaque fois) et sont l'occasion de remplir les gourdes ou de boire un café.
Et puis dans les Pouilles on mange bien, les gens sont accueillants (pour la gentillesse de Maria et Giovanni, la beauté du bâtiment, le fromage et l'huile d'olives on conseille un détour à la Masseria Giovannella à côté de Francavilla Fontana) et on a posé la tente dans de très beaux endroits. Bref les Pouilles, ça s'apprécie encore mieux à bicyclette !
Sans nos montures Bobby et Bertha, nous serions passés à côté des Pouilles : les deux premiers jours dans la région (entre Taranto et Gallipoli) étaient chouettes mais on ne comprenait pas bien pourquoi tout le monde en Italie nous avait dit d'y passer absolument, que c'était "bellissimo". On sortait de Calabre et Basilicate, on en avait eu du bellissimo.
Mais après Gallipoli, tout a changé. Nous avons commencé à trouver des itinéraires cyclables que nous avons arpentés sans but et nous nous sommes régalés sur des chemins magnifiques dans les marais ou en bord de mer, le long de plages de sable blanc, accessibles aux seuls piétons, cavaliers et cyclistes.
Lorsqu'il n'existait pas de "percorso cicloturistico", nous avons choisi des routes biscornues, plus longues et pas toujours en bel état donc très peu empruntées - contrairement aux autres régions que nous avons parcourues, le réseau secondaire est développé. Nous avons roulé au milieu des oliviers, des champs de blé, des prés en fleurs, nous avons laissé passer les bergers et leurs troupeaux.
Le relief est doux (on trouve tout de même de belles ascensions, pas bien longues mais assez violentes !) et les itinéraires aménagés et parcours balisés font sortir des sentiers battus. Quand ils ne suffisent pas, les réseaux Intothebike et Bikeitalia filent de précieux coups de mains. On a également longtemps suivi des autocollants avec des flèches rouges dont nous n'avons jamais su où ils menaient ni qui les avait posés, mais qui nous ont fait passer sur de très jolies routes.
On a jalonné nos journées de sauts de puce dans des villes aux magnifiques centres historiques (Oria, Francavilla Fontana, Ostuni, Cisternino, Alberobello, Polignano a Mare...), qui se visitent aisément en poussant la bicyclette (moins contraignant que de devoir trouver une place de parking à chaque fois) et sont l'occasion de remplir les gourdes ou de boire un café.
Et puis dans les Pouilles on mange bien, les gens sont accueillants (pour la gentillesse de Maria et Giovanni, la beauté du bâtiment, le fromage et l'huile d'olives on conseille un détour à la Masseria Giovannella à côté de Francavilla Fontana) et on a posé la tente dans de très beaux endroits. Bref les Pouilles, ça s'apprécie encore mieux à bicyclette !
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